Une étude montre qu'un britannique sur six à joué en ligne en 2016

Ecrit le 01/03/2017 par Romain

Environ un Britannique adulte sur six a joué en ligne en 2016. Une étude de la UK Gambling Commission a montré que la participation aux jeux d'argent était croissante et que le secteur des jeux en ligne montrait de plus en plus de popularité.

 

48% des interrogés ont joué au moins une fois à des jeux d'argent l'année dernière. Lorsque l'on enlève les loteries nationales, ce nombre chute à 33%. Environ 17% ont déjà joué en ligne (contre 15% en 2015), mais cela descend à 13% en enlevant encore les loteries nationales.

 

Les Britanniques ont tendance à être attirés par les jeux en ligne du fait de l'état du marché, qui est l'un des plus importants au monde. 2016 a de plus été marqué par plusieurs événements sportifs d'importance avec l'Euro 2016 et les Jeux Olympiques de Rio, qui ont poussé les amateurs de sportifs à tenter quelques paris.

 

Les joueurs mobiles prennent confiance

 

Les utilisateurs PC sont toujours les plus nombreux mais par une faible marge. 55% des joueurs en ligne ont misé sur leurs pc, mais cela représente 5% de moins qu'en 2015. La migration se fait sur les supports smartphones qui ont engrangé 6%. Les joueurs tablettes ont augmenté de 5%. Globalement, les hommes ont tendances à privilégier leurs smartphones quand il s'agit de parier sur mobile, tandis que les femmes préfèrent les tablettes.

 

97% des joueurs, même mobiles, jouent de chez eux mais le groupe des 18-24 ans a plus de chance de miser dans des endroits autres. En général, c'est le lieu de travail qui est choisi pour gambler, et cette habitude est plus masculine que féminine.

 

Les joueurs en ligne britanniques sont pour la moitié possesseur d'un seul compte en ligne (sur un seul site). 11% d'entre eux sont inscrits sur 5 sites ou plus.

  

Les publicités constituent un bon moyen d'attirer les joueurs et la plupart ont été happés par la télévision, ou sont susceptibles d'être happés par celle-ci. Même les jeunes générations l'admettent. Les médias comme Facebook ou Twitter, bien que très utilisés, ne semblent pas aussi convaincants que l'écran plat du salon.  

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